Les argiles, c’est quoi?

Petite fiche pédagogique que je vous partage. Cette fois, pas très attrayante, pas beaucoup de photos mais des indications et caractéristiques assez simples qui peuvent être utiles aux débutants. Il y aurait beaucoup plus à dire, bien sûr, chaque terre est unique même si il y a des familles d’argile, seuls les essais et l’expérience de chaque potier permettra de les connaître…

La Terre en Feu | Accueil

La Terre en Feu est l’atelier de poterie qui propose, en Dordogne, des stages et formations professionnelles.
Situé à Valojoulx sur les hauteurs
Contact : Sophie Houdebert 0685230152
Blog:  http://laterreenfeu.canalblog.com

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Bonne lecture…
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La faïence

C’est l’argile la plus courante. La faïence a servi à réaliser la grande majorité des terres cuites ou séchées sur notre planète.
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Elle est plastique. Parfois trop, surtout la variété rouge. Il faut alors la marier à une autre terre.

Les minerais rouges sont extrêmement courants sur terre mais beaucoup sont inutilisables à cause de la présence en eux de métaux alcalins . Cependant, la réserve de terre utilisable est immense.

Il existe également des variétés blanches, grises, etc., mais aussi des argiles chamottées (en principe artificiellement) d’usage courant en arts plastiques notamment. En fait, la faïence rouge convient autant à la sculpture qu’à la poterie.

La température de cuisson (et non de fusion intégrale) des faïences disponibles un peu partout dans le commerce est souvent de 850 à 1100°C. Elles contiennent tout au plus 2/3 de silice, les autres composants jouant le rôle de fondants.C’est ce qui fait que si on dépasse le point de cuisson, si elle arrive en fusion, elle fond et coule sur les plaques de cuisson. Elles contiennent peu d’alumine, agent de viscosité et moins de silice que le grès. Elles cuisent donc à plus basse température

La faïence reste poreuse, même sous la glaçure et il faudra avoir un accord parfait de coefficient de dilatation pour pouvoir faire de la faïence utilitaire non poreuse à l’utilisation.

Beaucoup de faïences peuvent être employées pures.

Plus plus on monte en température, plus elle sera cuite mais elle risque de fondre et se transformer en lave si on dépasse la température maximum, surtout pour les argiles rouges qui contiennent du fer, ce qui rend la terre plus fusible. Le manganèse aussi rend les argiles plus fusibles.

Le kaolin, composant des pâtes à porcelaine

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Au-delà de ce qui a déjà été spécifié dans le glossaire et ci-dessus, ajoutons que le véritable kaolin chinois est réputé plus aisé à travailler, plus plastique que les autres variétés, très adapté aux travaux de poterie et cuisant bien blanc – comme le kaolin anglais, dit-on. Les kaolins, dans l’ensemble, ont un grain relativement grossier par rapport à d’autres terres à modeler

Les kaolins primaires seraient nettement plus plastiques et plus blancs après cuisson que les kaolins secondaires.

Rappelons que la température de fusion du kaolin est particulièrement élevée. Pour abaisser cette température et, lorsque l’on est en présence de certaines variétés, pour disposer d’une meilleure plasticité, il est courant de lui associer des terres à grain plus fin, notamment les ball clays, mais aussi, lorsque la plasticité est indifférente, à ce que l’on nomme « les silices ».

Il est courant que le kaolin représente à peine la moitié du mélange. Un exemple type de mixture utilisée en poterie met en œuvre 40% de kaolin, 10% de ball clays, 20% de silices et 30% de feldspath (chiffres Daniel Rhodes, proportions confirmées par ailleurs). Ces données ne sont fournies qu’à titre indicatif, la variété de kaolin et le type de l’objet à réaliser pouvant rendre nécessaire un ajustement important.

Le kaolin, grâce à son grain relativement grossier qui autorise un écoulement satisfaisant de l’eau, pose peu de problèmes de retrait.
Les pâtes à porcelaine sont composées pour satisfaire aux besoins des potiers, des industriels et leur variété est très grande. On trouve des porcelaines composées qui cuisent à « basse  » température, 1230°, jusqu’aux porcelaines de grand feu 1450°. Chaque fournisseur a bien sûr ses recettes et ses températures de cuisson qui sont données lorsque l’on s’en procure.

Les terres glaises

Argiles sédimentaires très impures, elles sont aussi les plus colorées. Elles regorgent de molécules variées, principalement des marnes, des hydrocarbures et des oxydes de fer. Pour cette raison, elles sont très fusibles et très plastiques.

Les ball clays

Ce sont des terres très plastiques, chargées de carbone car leurs gisements sont souvent situés entre des strates de charbon. Leur grain est très fin. Elles contiennent aussi plus de silice qu’une argile moyenne.

Elles ne peuvent être employées pures à cause d’un retrait excessif. Par contre, associées à des kaolins ou d’autres terres en quantités faibles (1/10ème environ), elles apportent un gain de plasticité.

Leur couleur naturelle est grise (rarement blanche) et rosâtre, à cause de la présence d’oxyde de fer (sauf exceptions). Elles cuisent clair.

Le grès, les terres à grès.

Ce sont des argiles qui proviennent de la décomposition de roches sédimentaires. Selon la nature des roches dont elles proviennent, les oxydes qui la composent, leur propriétés et leurs aspects sont très variés. la caractéristique du grès est de vitrifier à la cuisson lorsqu’il rentre en fusion. Grâce à sa composition, riche en alumine et en silice, il ne fond pas lorsqu’il se vitrifie. Il arrive à se déformer bien sûr si on cuit trop haut, pour les pièces trop fines ou celles qui sont posées sur des enfournements un peu tordus…

Les grès chamottés sont très utilisés en Raku
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En principe, les grès vitrifient à une température assez élevée (vers 1200-1350°C), exigeant des fours puissants dits « fours à grès », mais une cuisson normale ne nécessite pas forcément de si hautes températures.

Ils ont en général une bonne plasticité. Ces argiles de type secondaire sont assez courantes et sont quelquefois employées pures, de manière artisanale. Un assez bon niveau de connaissance des matériaux est cependant souhaitable si l’on a envie de fabriquer ses propres glaçures.
On peut faire aussi des grès au sel. A haute température, on jette dans les ouvertures du four du sel qui dépose une glaçure sur les parois créant un décor apprécié

Les terres à feu ou argiles réfractaires

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Ce ne sont pas des argiles précises. En principe, toute argile est dite « terre à feu » si sa température de fusion (matériau pur) est supérieure à 1500°, quelle que soit sa composition ou si elle est traitée pour servir à la fabrication de récipients culinaires.

On l’utiliser pour la fabrication de briques réfractaires. L’emploi de ces briques est très varié : de l’assemblage de fours à la protection externe d’engins spatiaux.

Ces argiles dénuées de fer mais rarement blanches, à grain souvent grossier, ont un autre intérêt particulier : leur usage additionnel autorise la réalisation de travaux de grande taille. Le grain grossier combiné à un grain plus fin est en effet un gage de solidité et de résistance aux chocs thermiques

La terra cota

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L’étymologie très vague de ce mot (terre cuite) est à l’opposé de ce qu’il signifie de nos jours – bien que le sens premier semble persister chez certains auteurs – : la terra cota est une argile bien précise.

Elle est très chargée en fer, donc cuit à basse température.

Son grain est grossier, ce qui autorise un séchage d’excellente qualité (écoulement rapide et homogène de l’eau entre les grains).

Elle semble à conseiller pour les travaux de grande taille

L’adobe

Le terme adobe (de genre masculin) désigne un type particulier de briques, mais aussi, par extension, la terre servant à le fabriquer et le mode de fabrication, connu déjà dans l’ancienne Égypte, dans le royaume de Kerma et en Assyrie notamment.

L’adobe en tant qu’argile est une terre grossière et sableuse récoltée en surface.

Elle a peu de plasticité. Son emploi semble réservé aux régions arides où sa conservation n’est pas millénaire, comme en témoignent notamment les « tells » d’Irak, collines informes faites de vestiges de bâtiments construits avec ces briques, effritées et affaissées. L’adobe a cependant rendu de très grands services à l’humanité et peut encore en rendre dans différentes régions du monde.

C’est une argile très ancienne, les preuves qu’elle a données sont notables

* les références historiques qu’elle évoque peuvent être mises en scène dans un travail artistique

* sa facilité d’emploi, de fabrication et d’extraction est unique.

Une variante est la bauge (ou le torchis, ou le pisé), enrichie de foin et pas forcément préparée sous la forme de briques.

La bentonite

C’est une argile naturellement gavée de matières collantes. Son origine est volcanique.

Elle est utilisée en très petite quantité pour accroître la plasticité d’autres terres et pour aucun autre usage car :

* en présence d’eau, son volume augmente considérablement
* elle connaît un très fort retrait au séchage
* elle colle fortement, pour ne pas dire trop.
On l’utilise entre 3 et 5% pour aider à garder les glaçures en suspension. Attention, bien mélanger les poudres à sec sinon on ne s’en dépatouille plus !!!

Récupérer de l’argile dans la nature

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Attention à tester sa teneur en grains de chaux car ceux-ci gonflent après cuisson et provoquent des fêlures ou fendent la pièce.

Pour éviter ce problème, tamiser la terre très finement (30), faire une petite coupelle et la cuire pour voir le résultat, la couleur, la texture etc…

L’argile résiduelle, qui se trouve au pied des falaises et l’argile sédimentaire, celle qui a été entraînée par l’eau et se retrouve déposée. Elle est souvent plus fine, grâce à l’action de l’eau, du mouvement

Ces argiles souvent pures sont difficiles à modeler, peu souples. En Angleterre on laisse l’argile, nouvellement extraite, exposée à la pluie pendant une année.

Toute pierre doit être enlevée de la masse d’argile. La moindre parcelle de calcaire dans l’argile va faire un point de porosité, les points de chaux expliqués plus haut. Quelquefois plusieurs mois après la mise en service du vase, cette parcelle va gonfler, repousser le vernis et faire un trou dans le vase.

Une argile dont on ne peut enlever le calcaire est mise au rebut. Le potier prend alors une autre argile utilisable.

Les essais nécessaires pour connaître une argile ramassée

Parfois une approche empirique ne permet pas d’avoir de bons résultats, il est alors nécessaire de pratiquer des essais systématiques et quantifiés pour connaître son argile. Voilà comment on peut pratiquer : – à partir d’une argile brute, on fait 15 boulettes de 60 g., ce qui permettra de faire 15 petites poteries.

Cela permet d’avoir une gamme suffisamment large pour avoir une bonne idée de l’argile, tant sur sa malléabilité et comportement à la fabrication et ultérieurement comportement à la cuisson et résistance au choc thermique. La réalisation des petites poteries d’essai sera réalisée rapidement par enfoncement du pouce au centre de la boulette et affinement par pression entre le pouce et l’index, ce qui n’est pas si simple quand on manque d’expérience, mais c’est très formateur !

Après le lavage, la décantation et l’évaporation, on se retrouve avec la masse d’argile. La préparation n’est pas terminée.

Les additifs, sables, chamottes…

Utilité des additifs

Les additifs permettent d’ajuster la plasticité de l’argile, de contrôler sa fermeté, d’accroître sa

porosité, résister au choc thermiques, aux contraintes de cuisson et de résultat…. Avant de passer au four cette argile doit être suffisamment poreuse pour pouvoir sécher. .

Quels sont ces additifs?

On ajoute à l’argile de la silice pour faciliter la fusion des matériaux. On ajoute souvent de la chamotte, pulvérisation de terres déjà cuites. Elle accélère le séchage, empêche les déformations pendant la cuisson, permet les chocs thermiques quand on sort les pièces en fusion du four pour les enfumer (Raku). On peut ajouter du sable fin, de la silice qui sont des dégraissants, du talc, du mica qui permet de résister aux chocs thermiques et de faire un décor et ce que l’on souhaite essayer, le tout étant de faire des essais et de protéger les plaques d’enfournement avec le mélange silice/kaolin afin de pouvoir les nettoyer facilement

Autres additifs: des liants tels que la felsite, (roche volcanique qui peut contenir des cristaux) facilite la fusion des éléments entre eux, rend l’argile imperméable lors de la cuisson afin que le vase puisse remplir sa fonction. (je n’ai pas vérifié, j’ai lu l’info)
Recycler les déchets de terre

Les terres très boueuses sont mises sur des rondeaux de plâtres. Le plâtre absorbe l’eau, et la terre devient de plus en plus facile à travailler au fur et à mesure de son séchage.

Les terres humides raffermies que l’on peut malaxer sont mises en forme de U et posées les unes à côté des autres comme des petits ponts. Lorsque les ponts sont à bonne consistance on les bat et on les remet en boules.
TAMISER

Mélanger terre + eau jusqu’à consistance crème fraîche ou fromage blanc.

Tamiser sur un tamis 30 ou 60 (mailles au cm²)

Mettre à raffermir sur du plâtre que l’on peut recouvrir d’un tissu. Cela évite les grains de chaux qui créent des problèmes après cuisson

La Plasticité

Les artistes et artisans travaillant l’argile entendent par ce terme le fait qu’une terre est capable de conserver la forme qu’ils lui ont donnée. Cette définition est d’ailleurs reprise dans un sens étendu à d’autres domaines par différents ouvrages et dictionnaires.

Concernant la plasticité des terres en particulier,

Des argiles à grain relativement grossier comme le kaolin sont particulièrement plastiques. La granulation d’une terre et sa plasticité dépendent non seulement de la taille, mais aussi de la forme des grains et d’autres particularités qui ont une importance pratiquement équivalente.

La présence d’oxydes métalliques et de différents autres molécules et éléments, le fait que la taille des grains soit variée, le degré d’imbibition d’eau, sont des facteurs de premier ordre.

Les matières organiques – voire la simple présence de carbone, comme dans les ball clays – ont aussi tendance à accroître la plasticité d’une terre. Ainsi, par exemple, une terre vieillie, recelant davantage de bactéries, devient plus « plastique ». Mais une argile trop plastique peut se révéler trop collante.

A l’inverse, la présence de sable diminue radicalement la plasticité des terres au point de les rendre inutilisables en sculpture et en poterie si c’est en trop forte quantité, alors qu’elle est appréciée par les fabricants de briques

Le retrait

A cause de la préparation de l’argile par adjonction d’eau, celle-ci connaît un retrait au séchage, puis à la cuisson. Il faut dire qu’une argile préparée pour la sculpture, la poterie, etc., est constituée d’un quart à un tiers d’eau « libre » en termes de poids (l’eau « libre » est l’eau qui n’est pas intimement associée à l’argile à l’échelle moléculaire). L’élimination de cette eau libre au séchage entraîne une première perte de masse de l’ordre de 3 à 8%, les argiles les plus fines et les plus « pures », se rapprochant de la kaolinite, perdant toujours plus d’eau. Les autres, nommées « argiles ouvertes », contiennent suffisamment de corps imperméables (sable, feldspath, quartz, etc.) ouvrant des « canaux » permettant une bonne évacuation de l’eau. Après cuisson, les terres « ouvertes » s’avèrent souvent plus résistantes aux chocs thermiques.

L’eau libre demeure donc présente en quantité importante dans l’argile (eau dite « hygrométrique »). Elle est éliminée au début de la cuisson.

Lorsque le retrait s’effectue mal au séchage, on constate des déformations, fendillements et autres accidents. Le séchage doit être lent, en atmosphère très modérément humide, et bien homogène . Il est également possible d’ajouter de petites quantités de sable (ou d’un autre matériau imperméable cité ci-dessus) afin d’améliorer l’écoulement d’eau. La plasticité de la terre en souffrira cependant. De trop grandes quantités risquent de compromettre l’adhérence aux éventuelles structures de support et même, finalement, de nuire à l’homogénéité du séchage.

Acheter de l’argile

J’ai testé beaucoup d’argiles de Céraquitaine à St Aulaye en Dordogne. David livre gratuitement dans toute la Nouvelle Aquitaine !!!!!

Et on trouve enfin un interlocuteur compétent, serviable qui installe les fours dans la région Aquitaine, vient aider, assure la maintenance du matériel….
Ils fabriquent le réfractaire sur place, une caverne d’Ali Baba pour les potiers… Nous avons visité les ateliers de l’usine avec les stagiaires

La FR 125, argile à Faïence rouge est superbe, elle fait une très belle sigillée orange qui craquelle en Raku. Et prix au ras du plancher. En plus si on n’a pas le coût de la livraison, le calcul est vite fait
La PTE, argile rouge à faïence fine, très belle sigillée orange , plus vive encore que la FR 125

La Faïence blanche FDML se tourne très bien, j’ai testé la sigillée, elle brille bien, la chamottée résiste bien aux chocs thermiques. Emaillage okk
La Normande. Faïence blanche lisse. Se tourne très bien, se polit très bien. La sigillée est vraiment très soyeuse. La chamottée résiste très bien au choc thermique. Bonne pour le Raku

Kyuchu (Fuji) fine ou chamottée, faïence blanche qui est facile à tourner, à polir, donne de très bons résultats. Emaillage okk;  Elle donne de très beaux résultats en RAKU. Très belle sigillée

Baillet pastille orange. Grès blanc très réfractaire, chamotte très fine, se tourne et se polit très bien, excellente résistance aux chocs thermiques. Très belle en Raku. La sigillée est très belle

PRAI. Grès blanc avec chamotte impalpable. Argile exceptionnelle. Sigillée magnifique. Attention à la fragilité au choc thermiques, les formes trop fines, j’en ai fait l’expérience, cassent. Les formes ouvertes sont très fragiles aussi

Le grès OMAHA chamotté, excellent en Raku, au tournage, à haute température. Très bel aspect dans le four à bois à 1280°
La série de grès blancs et de couleur SI O2 est excellente, tous les chamottés résistent au Raku. Pour les couleurs, chacun fait ses tests selon l’aspect recherché, je parle ici de l’aspect technique

J’ai testé des porcelaines …
LA MONT BLANC est pour les experts en tournage dont je ne suis pas si on veut tourner fin. Elle est telleemnt riche en silice qu’elle ne monte pas. Très peu de plasticité, « fromage blanc ». Cassante, difficile à tournasser. Pas pour les débutants. Belle translucidité après fusion. Il faut au moins 1280°, plus c’est okk
AUDREY BLACKMANN. Très bonne dans tous les cas, bien translucide, facile à tourner, beaux résultats.
SAFL. Assez difficile à tourner, beaux résultats

Vous pouvez aller sur le site et télécharger le catalogue. Je n’ai aucun avantage ni bénéfice mais cela fait 40 ans que je ne trouve pas d’interlocuteur proche valable, notre fournisseur historique n’assure pas une cacahuète et on se fait vertement remballer selon les humeurs…. Donc, quel soulagement. http://www.ceraquitaine.fr/

Vous pouvez appeler David Clairaud au 0608581237

C’est un partage amical…

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La Terre en Feu est l’atelier de poterie qui propose, en Dordogne, des cours et stages pour enfants et adultes. Mais aussi des formations professionnelles.

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